Après un mois de folie et après avoir célébré la victoire de Chris Froome.
Revenons sur l’histoire du Tour de France.
Un ancien cycliste de renommée Henri Desgrange, reçoit la direction du quotidien l’auto-vélo, qui pour la petite histoire sera imprimé en jaune, d’où la couleur du maillot.
Le quotidien sera condamné pour usurpation de titre lors d’un procès intenté par les directeurs du quotidien Le Vélo. Ne pouvant plus comporter le mot vélo, le journal est alors rebaptisé L’Auto.
Alors craignant que les amateurs de cyclisme s’éloignent de son quotidien à cause de sa nouvelle appellation, le 19 janvier 1903, L’Auto annonce dans sa une la création du Tour de France, « la plus grande épreuve cycliste jamais organisée”.
Pour les plus grands plaisirs des coureurs, l’innovation s’invite commençant par le vélo.
L’invention de la bicyclette remonte en 1817 par le baron est ingénieur allemand Karl Drais Von Sauebronn qui sera nommé “machine à courir assis”. Un véhicule à deux roues doté d’un système de direction, cette machine également appelée draizienne.
Le précurseur direct de la bicyclette sera le vélocipède français, entraîné par des manivelles et des pédales libres.
Le vélocipède subira des améliorations par les Anglais, qui changeront la rouée avant qui deviendra plus grande.
Mais c’est en 1885 que l’artisan Pierre MICHAUX amènera des pédales fixent, placées dans leurs positions actuelles et reliées à la rouée arrière par une chaîne.
De nos jours, c’est la technique qui s’invite au tour de France
L’allemand Ulrich Schober coureur dans ses heures, rêve de courir comme un pro, en 1988 il déposa le brevet du SRM (Schober) .Un petit capteur de puissance située sous la pédale du vélo qui est devenue indispensable aux coureurs surtout en competition comme le tour de France.
Ce petit boitier permet de se perfectionner, de trouver une bonne tactique et également de juger leurs adversaires.
Mais nos coureurs de s’arrêter pas là, la GO pro sera de la partie pour que les fans puissent vivre le meilleur des étapes avec eux.
La GO pro est née en 2002, un jeune chômeur, Nick Woodman, souhaitant se changer les idées et partir en Indonésie pour faire du surf. Il eut envie de se filmer dans les vagues, c’est alors qu’il accroche un appareil photo jetable sur sa poignée à l’aide d’une sangle. Il reviendra des vacances avec ces petits appareils à à attacher et les vendront aux surfeurs qui en étaient plus que ravis. C’est alors qu’il améliore la stabilité de l’objet.